J'ai le plaisir de vous dire qu'à partir de ce moment vous avez un nouveau blog, "La Bohème", dédié au merveilleux monde de la poésie. Je vous invite à participer soit en écrivant vos propres poèmes ou en partageant d'autres écrivains français. Bon courage et allez-y!
mercredi 12 janvier 2011
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Salut Charo.
RépondreSupprimerJe crois que ton nouveau blog peut avoir du succès, surtout pour les personnes qui aiment le monde de la poésie. Je l'ai vu, et j'ai regardé le poème sur les mois de l'année. Mais, vas tu publier dans "La Bohème" narrative?
C'est tout.
Curro Manzano. Troisième ESO B.
Salut, Charo!
RépondreSupprimerTon blog est super! Il y a des poèmes très interesants et ingenieux... Demain, à la récre, Je te donnerais un autre poème que je l'ai vu sur une page d'Internet. L'auteur, je ne le connais pas, mais sa poesie est jolie... Je crois que tu l'aimerais beaucoup. À demain!
Fran Collado Martín, 3ºESO B
Salut encore, Charo!
RépondreSupprimerComme tu me dis, je t'écrit le poème ensuite:
L'hiver magique
Je viens à peine d’ouvrir mes yeux,
Je découvre un paysage merveilleux,
En toile de fond, un joli coin de ciel,
Tout paraît devenir vite irréel.
Est-ce la plus belle de toutes les apparitions ?
Que je découvre au bout de l’horizon ?
J’entrevois une dame en habit de dimanche,
Qui sème une belle neige toute blanche !
Je regarde les flocons tourbillonner,
Pour doucement venir sur la terre se poser,
Combien de temps, en fait resteront-ils ?
Le temps de quelques rêves bien futiles.
Oh ! mystère la dame s’approche de moi,
Devant ma fenêtre, il neige pour moi,
Mais ce n’est plus de la neige blanche,
Elle m’offre de l’amour en revanche.
Je suis extrêmement étonnée par elle,
Je la vois si près de moi, presque réelle,
Suis-je donc vraiment en train de rêver ?
La neige est là, devant moi à se transformer.
Imaginez, de jolis bonhommes de neige,
L’un d’eux fait même des arpèges,
Sur un instrument que je ne connais pas,
L’un d’eux s’approche alors de moi.
Non, cela est impensable, il m’invite,
A la valse de la neige qui m’évite,
Nous dansons une valse a mille flocons,
Ne le dites pas, je suis devenue un flocon.
Michèle R.
Au revoir, Fran Collado Martín 3ºESO B
Amour Infini
RépondreSupprimerIl y a seulement un homme sur cette terre
Pour qui mon cœur bat, pour qui je respire
Je loue mon créateur, maitre de l’univers
Qui m’a donné enfin une raison de sourire
J’ai cru que le chagrin allait tout consumer
Mon corps, mon âme, toute mon existence
Toutes ces nuits à pleurer, ces années de souffrance
Grâce a Dieu, grâce a toi, je les ai oubliées
Avant toi, j’ai connu des jours de solitude
Sans espoir, malheureuse, seule avec mon chagrin
J’ai cessé de rêver de cette béatitude
Et comme ça par hasard, je l’ai trouvée enfin
Je ne voulais plus vivre dans ce monde insensé
Tu m’as sauvée la vie quand je t’ai rencontré
Maintenant je veux vivre pour toi, pour notre amour
Je t’aime avec mon cœur, sans réserve, pour toujours...
Kettly Noël
Anabel Contreras Ravira 1º bachillerato C
Salut Charo!
RépondreSupprimerC´est un poeme du le livre de poesie "Les contemplations"(Victor hugo)
Mon bras pressait la taille frêle
Et souple comme le roseau;
Ton sein palpitait comme l'aile
D'un jeune oiseau.
Longtemps muets, nous contemplâmes
Le ciel où s'éteignait le jour.
Que se passait-il dans nos âmes?
Amour! amour!
Comme un ange qui se dévoile,
Tu me regardais, dans ma nuit,
Avec ton beau regard d'étoile,
Qui m'éblouit.
À mes amis.
RépondreSupprimerJe dois la tendresse à mes amis
et les mots de respiration et l'embrassade,
le fait de partager avec tous la facture
que la vie nous présente pas à pas.
Je dois la patience à mes amis
de mes épines les plus minces me tolèrent,
les emportements de l'humour, de la négligence
les vanités, les craintes et les doutes.
Un bateau fragile de papier
c'est parfois l'amitié,
mais il ne peut jamais avec lui
une tempête la plus violente.
Parce que ce bateau de papier
il a saisi à son gouvernail,
par capitaine et un timonier …
un coeur!
Je dois une irritation à mes amis
qui perturbera sans le vouloir notre harmonie,
nous savons tous qu'un péché ne peut pas être
le fait de discuter une fois par des sottises.
Je déléguerai mes amis quand je mourrai
ma dévotion dans un accord de guitare,
et entre les vers oubliés d'un poème
ma pauvre âme incorrigible de cigale.
Mon ami si ce couplet comme le vent
où tu veux l'écouter il tu réclame,
tu seras pluriel parce que le sentiment l'exige
quand les amis emportent dans l'âme.
A. Cortez
María Zarzuela Alarcón. 1º Bachillerato C